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Santé reproductive


  • À propos de la fertilité
    À propos de la fertilité

    Fertilité
  • À propos de la fertilité

    Au Canada, on estime qu’entre un et six couples ont des difficultés à avoir un bébé.

    Pourquoi? Les hormones responsables de la maîtrise de nos systèmes et cycles de reproduction doivent être produites dans les bonnes quantités, dans le bon ordre et au bon moment pour que l’ovulation et la production de spermatozoïdes puissent se produire. Divers problèmes physiques et structurels, tels que des maladies des trompes ou des problèmes de sperme peuvent également avoir une incidence sur la capacité à concevoir.

    Chez Ferring, le traitement de l’infertilité est l’un de nos principaux domaines d’expertise. Cela comprend un certain nombre de traitements hormonaux qui peuvent corriger les déséquilibres des hormones et stimuler l’ovulation. Grâce à ces traitements et à d’autres interventions, les couples infertiles ont maintenant une meilleure chance de concevoir que jamais auparavant.

    Information importante sur l’innocuité de BRAVELLE™ et les lots rappelés du produit en raison de la diminution de son effet thérapeutique

    Site Web de Ferring sur la fertilité

    Physical and emotional burden

    L’infertilité est plus qu’un problème physique. Bien que de nombreux couples traités contre l’infertilité finissent par connaître la joie d’avoir des enfants, l’infertilité et son traitement sont en général une grande source de stress qui affecte les relations des couples et leur vie personnelle. La réussite dans la prise en charge de l’infertilité comprend les soins à la fois sur le plan physique et émotionnel du couple.

    Pour en savoir plus sur la prise en charge de l’infertilité, veuillez consulter le guide suivant (en format PDF) :

    A guide to managing infertility.pdf

  • Le processus de reproduction
    Le processus de reproduction

    Fertilité
  • Le processus de reproduction

    Normal functioning of the male and female reproductive systems depends on complex hormonal communication signals between the endocrine system and the sexual organs: ovaries in women and testes in men.

    Rôle des hormones
    Comme la plupart des systèmes du corps, les hormones dirigent des processus complexes qui participent à la fertilité des hommes et des femmes.

    Trois hormones clés sont responsables de réguler les appareils et les cycles reproducteurs des deux sexes. La gonadolibérine (GnRH) est sécrétée par l’hypothalamus. Cette hormone stimule la sécrétion de deux gonadotrophines à partir de l’hypophyse : l’hormone lutéinisante (LH) et l’hormone folliculostimulante (FSH). La LH et la FSH sont les éléments clés derrière l’ovulation et le développement des spermatozoïdes chez les hommes.

    Le corps doit produire ces hormones dans la bonne quantité, dans le bon ordre et au bon moment pour que l’ovulation et la production de spermatozoïdes puissent se produire. Dans le cas contraire, les chances de conception seront réduites.

    Appareil reproducteur de la femme

    La production d’œufs fertiles (ovocytes)
    À la naissance, les femmes ont environ 400 000 œufs immatures déjà dans leurs ovaires. Chaque mois, entre la puberté et la ménopause, un œuf (habituellement) atteint sa pleine maturité et commence son périple dans les trompes de Fallope en vue de la fécondation.

    Cycle menstruel
    Il y a trois phases dans le cycle menstruel (« mensuel ») d’une femme. En moyenne, ce cycle dure 28 jours.

    • Première phase : phase folliculaire
      Cette première phase du cycle dure environ deux semaines. Au cours de cette phase, la sécrétion de FSH augmente, stimulant le développement d’un œuf qui contient des follicules et la maturation de l’ovule qui se trouve à l’intérieur.

      Le follicule en croissance sécrète des quantités croissantes de l’hormone féminine, l’œstrogène, ce qui déclenche des changements au niveau de la paroi de l’utérus (endomètre) et de la glaire cervicale. Cette dernière s’amincit pour permettre le passage des spermatozoïdes, et l’endomètre s’épaissit et devient apte à l’implantation d’un ovule fécondé.
    • Deuxième phase : Ovulation
      Environ 32 heures avant qu’un ovule soit prêt à être libéré, la quantité d’œstrogène produite par le follicule augmente rapidement, ce qui provoque une forte hausse de la sécrétion de LH par l’hypophyse. Cette forte poussée de production de LH provoque l’ovulation. L’œuf mature éclate hors du follicule et descend par la trompe. 
    • Troixième phase : phase lutéale
      Le reste du follicule devient alors le corps jaune, qui sécrète une deuxième hormone féminine, la progestérone. Cela aide à maintenir les meilleures conditions pour la grossesse si l’ovule est fécondé. 

      Si l’ovule n’est pas fécondé dans un délai de 72 heures environ, le corps jaune dégénère et éventuellement l’ovule est expulsé de l’utérus avec la paroi, menant à la menstruation environ 14 jours plus tard.

    Appareil reproducteur de l'homme

    La production des spermatozoïdes
    La LH est responsable de la production de l’hormone testostérone chez l’homme, qui avec la FSH est responsable de stimuler la production de spermatozoïdes dans les testicules.

    La production de spermatozoïdes, ou spermatogenèse est un processus continu. Il faut environ 72 à 74 jours pour qu’une cellule germinale masculine se développe et devienne un spermatozoïde actif. Plusieurs centaines de millions de spermatozoïdes sont produits tous les jours. Parmi ces millions de spermatozoïdes disponibles chaque jour, seule une faible proportion a le plein potentiel de fécondation.

    La spermatogenèse est plus efficace à une température de 34 °C, mais elle est vulnérable aux augmentations de température.

    Les spermatozoïdes
    Un spermatozoïde se compose de deux parties principales :

    • la tête qui a le rôle crucial de s’accrocher à un ovule et de pénétrer la membrane externe de ce dernier pour emporter son information génétique;
    • et la queue, qui permet au spermatozoïde de « nager » tout le long de l’appareil reproducteur féminin pour atteindre un ovule.

    Des problèmes touchant l’un ou l’autre de ces éléments auront une incidence sur le pouvoir fécondant du spermatozoïde.

    Meilleur moment pour la conception
    Concevoir n’est pas toujours simple, même pour les personnes qui n’ont pas de problèmes de fertilité. Les humains comptent parmi les créatures sur terre les moins fertiles, n’ayant que 25 % de probabilités de conception chaque mois.

    Les spermatozoïdes ne peuvent vivre qu’environ 48 heures dans l’appareil reproducteur de la femme, l’ovule devant être fécondé dans les 72 heures suivant l’ovulation, ce qui laisse un court laps de temps pour la fécondation. Ainsi, le meilleur moment pour la conception se situe vers le milieu du cycle menstruel, juste avant que l’ovulation ait lieu.

    Grossesse

    Dans des circonstances normales, seulement quelques centaines des quatorze millions de spermatozoïdes déposés naturellement dans le vagin pendant le rapport sexuel sont en mesure d’atteindre l’extrémité de la trompe de Fallope, où l’ovule peut être fécondé.

    Après qu’un spermatozoïde a réussi à féconder un ovule, la division cellulaire commence, et des cellules fusionnées deviennent un embryon. La migration de l’embryon a lieu en même temps et environ une semaine après l’ovulation, l’embryon se trouve dans l’utérus et s’implante par lui-même dans l’endomètre. Une implantation réussie empêche le corps jaune et l’endomètre de se briser et, par conséquent, la menstruation de se produire.

    À ce stade, une troisième gonadotrophine, la gonadotrophine chorionique humaine (hCG), est produite par le placenta, qui se forme à l’implantation. L’hCG joue un rôle important dans le maintien de la grossesse. En effet, elle stimule le corps jaune à continuer à produire des taux élevés d’œstrogène et de progestérone.

    Les spermatozoïdes ne peuvent vivre qu’environ 48 heures dans l’appareil reproducteur de la femme, l’ovule devant être fécondé dans les 72 heures suivant l’ovulation, ce qui laisse un court laps de temps pour la fécondation. Ainsi, le meilleur moment pour la conception se situe vers le milieu du cycle menstruel, juste avant que l’ovulation ait lieu.

  • Causes de l’infertilité
    Causes de l’infertilité

    Fertilité
  • Causes de l’infertilité

    La nature complexe des interactions et des processus participant à la production d’ovules et de spermatozoïdes et à la fécondation signifie donc que quelque chose peut mal tourner à diverses étapes du processus.

    L’infertilité
    L’infertilité est généralement définie comme l’incapacité d’un couple de concevoir après un an de rapports sexuels non protégés. Cependant, certains médecins peuvent encourager les jeunes couples à attendre jusqu’à deux ans avant de chercher un traitement, tandis que les femmes de plus de 35 ans ou celles qui sont atteintes de certaines maladies, comme le diabète, ne devraient attendre que six mois.

    Statistiques
    Environ un couple sur six, parmi ceux qui sont concernés, finit par chercher de l’aide. Au sein de ce groupe, la cause de l’infertilité touche la femme dans 40 % des cas et l’homme dans 30 % des cas. Dans les autres cas, soit les deux partenaires s’avèrent avoir une réduction de la fertilité, soit la cause ne peut pas être déterminée.

    Facteurs en jeu chez la femme

    • Hormones et ovulation : Des problèmes hormonaux affectent le développement folliculaire et l’ovulation. Les problèmes d’ovulation sont la cause la plus fréquente de l’infertilité chez les femmes et représentent jusqu’à un tiers de tous les cas.

    • Problèmes touchant les trompes : Des dommages aux trompes de Fallope sont une autre raison courante d’infertilité, car l’ovule ne peut pas descendre, empêchant ainsi la fécondation ou le passage vers l’utérus.

    • Problèmes touchant l’utérus : L’endométriose peut être un problème clé dans l’utérus. Dans ces conditions, les cellules en croissance de l’endomètre se brisent et adhèrent aux ovaires et aux trompes de Fallope, modifiant la façon dont ils fonctionnent. Des fibromes et des polypes présents dans l’utérus peuvent également causer des problèmes de fertilité.

    • Problèmes touchant le col utérin et le vagin : Les anomalies structurales du vagin ou du col utérin, tout comme les caractéristiques physiques de la glaire cervicale, peuvent avoir une incidence sur la fertilité. Le mucus peut être hostile aux spermatozoïdes parce qu’il peut contenir des anticorps ou avoir une épaisseur suffisante pour bloquer le mouvement des spermatozoïdes.

    Facteurs en jeu chez la femme

    • Hormones et ovulation : Des problèmes hormonaux affectent le développement folliculaire et l’ovulation. Les problèmes d’ovulation sont la cause la plus fréquente de l’infertilité chez les femmes et représentent jusqu’à un tiers de tous les cas.

    • Problèmes touchant les trompes : Des dommages aux trompes de Fallope sont une autre raison courante d’infertilité, car l’ovule ne peut pas descendre, empêchant ainsi la fécondation ou le passage vers l’utérus.

    • Problèmes touchant l’utérus : L’endométriose peut être un problème clé dans l’utérus. Dans ces conditions, les cellules en croissance de l’endomètre se brisent et adhèrent aux ovaires et aux trompes de Fallope, modifiant la façon dont ils fonctionnent. Des fibromes et des polypes présents dans l’utérus peuvent également causer des problèmes de fertilité.

    Problèmes touchant le col utérin et le vagin : Les anomalies structurales du vagin ou du col utérin, tout comme les caractéristiques physiques de la glaire cervicale, peuvent avoir une incidence sur la fertilité. Le mucus peut être hostile aux spermatozoïdes parce qu’il peut contenir des anticorps ou avoir une épaisseur suffisante pour bloquer le mouvement des spermatozoïdes.

      • Hyperprolactinémie : Il s’agit d’une anomalie dans laquelle on trouve des taux excessifs de l’hormone prolactine dans le sang. Cela peut entraîner des symptômes comme des cycles menstruels irréguliers ou absents, l’infertilité et l’augmentation de la production de lait maternel.

      Facteurs en jeu chez l’homme

      • Qualité des spermatozoïdes : La grande majorité des cas d’infertilité masculine sont attribuables à un faible nombre de spermatozoïdes, qui est généralement associé à un taux élevé de spermatozoïdes anormaux (taille, forme et mouvement).

      • Déséquilibres hormonaux : Les déséquilibres hormonaux liés à la FSH et LH surviennent chez les hommes, mais ne sont pas très courants.

      • Insuffisance testiculaire : Il arrive que certains hommes n’aient pas de spermatozoïdes dans leur sperme. Cela peut être dû à une absence d’éjaculation ou à une incapacité des testicules à produire du sperme.

      • Varicocèle : Ce sont des varices situées d’un ou des deux côtés du scrotum, et elles sont l’anomalie anatomique la plus courante chez les hommes infertiles.

      • Obstruction des canaux : Des dommages à la suite d’infections peuvent empêcher les spermatozoïdes de pénétrer dans le sperme. Parfois, l’éjaculat de certains hommes est dévié dans la vessie.

      Anticorps anti-spermatozoïdes : Un petit groupe d’hommes produit en fait des anticorps contre ses propres spermatozoïdes. Cette cause représente environ 10 % des cas d’infertilité masculine inexpliquée.
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    Problèmes d’infertilité mixte

    Parmi les nombreux cas d’infertilité dont la cause réside chez les deux partenaires, certains peuvent être simples et très faciles à traiter. Comme le temps propice à la fécondation d’un ovule est plutôt limité dans le cycle menstruel d’une femme, la fréquence et le moment des rapports sexuels peuvent être déterminants. Dans certains cas, il s’avère que la technique est en cause (le sperme ne se dépose pas assez haut dans le vagin). La fertilité diminue également avec l’âge, surtout chez la femme. Chez l’homme, la fertilité peut diminuer avec l’âge, mais pas de façon spectaculaire comme on observe chez la femme. Les hommes continuent de produire des spermatozoïdes, mais leur qualité et motilité réduisent avec l’âge.

  • Traitement de l’infertilité
    Traitement de l’infertilité

    Fertilité
  • Traitement de l’infertilité

    Traitement de l’infertilité

    Une panoplie d’options existent maintenant pour aider à déterminer la ou les causes de l’infertilité et à donner éventuellement aux couples les meilleures chances de réaliser leur rêve d’avoir un bébé.

    Depuis plus d’une décennie, Ferring aide les couples à concevoir grâce à une gamme de produits de haute qualité qui fonctionnent de la même manière que les hormones naturelles du corps. Par le rééquilibre hormonal et la stimulation de l’ovulation, ces produits permettent d’atteindre un taux élevé de grossesses.

    Options de traitement
    Les interventions et traitements que proposent les cliniques d’infertilité peuvent être divisés en quatre catégories principales :

    • Hormonothérapie et traitement anti-œstrogène (dont le déclenchement de l’ovulation)
    • Insémination artificielle (IA)
    • Intervention chirurgicale
    • Techniques de reproduction assistée (TRA)

    Le spécialiste en infertilité commencera probablement par le traitement le plus simple adapté à la cause de l’infertilité du couple. Lorsqu’une grossesse ne survient pas après quelques cycles de traitement, une autre intervention sera choisie. Entre 85 % et 90 % des cas d’infertilité sont pris en charge à l’aide de traitements médicaux conventionnels tels que les médicaments ou la chirurgie.

    L’hormonothérapie
    Son objectif est de remplacer, ou renforcer, les hormones produites naturellement par le corps. La gonadothérapie est également utilisée pour stimuler la « surovulation » pour les techniques de reproduction assistée, y compris la fécondation in vitro (FIV).

    L’induction de l’ovulation
    L’induction de l’ovulation peut être utilisée comme traitement seul ou en association avec un autre traitement contre l’infertilité comme l’insémination artificielle ou FIV.

    Le traitement stimule l’ovulation chez les femmes qui présentent des règles rares ou irrégulières, ou chez celles dont les cycles menstruels ont arrêté à cause d’ovaires polykystiques. Bien que ces traitements s’avèrent efficaces pour beaucoup de femmes, ils comportent un risque élevé de grossesses multiples.

    Traitement de l’infertilité

    Une panoplie d’options existent maintenant pour aider à déterminer la ou les causes de l’infertilité et à donner éventuellement aux couples les meilleures chances de réaliser leur rêve d’avoir un bébé.

    Depuis plus d’une décennie, Ferring aide les couples à concevoir grâce à une gamme de produits de haute qualité qui fonctionnent de la même manière que les hormones naturelles du corps. Par le rééquilibre hormonal et la stimulation de l’ovulation, ces produits permettent d’atteindre un taux élevé de grossesses.

    Options de traitement
    Les interventions et traitements que proposent les cliniques d’infertilité peuvent être divisés en quatre catégories principales :

    • Hormonothérapie et traitement anti-œstrogène (dont le déclenchement de l’ovulation)
       
    • Insémination artificielle (IA)
       

    Intervention chirurgicale
    Techniques de reproduction assistée (TRA)

    L’insémination artificielle
    Plus souvent utilisée dans les cas d’infertilité due à un faible nombre de spermatozoïdes ou à une motilité réduite de ces derniers, cette intervention peut également être utilisée dans les cas où la femme présente une glaire cervicale inhospitalière ou produit des anticorps contre les spermatozoïdes. Les spermatozoïdes sont prélevés, traités et lavés puis insérés directement dans l’utérus, le canal cervical ou le vagin.

    L’intervention chirurgicale
    L’intervention chirurgicale peut être utilisée pour corriger des anomalies anatomiques du système reproducteur de la femme ou de l’homme.

    Les techniques de reproduction assistée
    TRA est un terme général comprenant un éventail d’interventions avancées, dont la micromanipulation du sperme pour la fécondation et l’implantation. Les interventions ont ceci en commun qu’elles exigent la collecte de plusieurs ovules matures (ovocytes), qui sont obtenus par stimulation hormonale des ovaires, souvent décrite comme « surovulation ».

    Les principales TRA comprennent :

    • La fécondation in vitro (FIV)

    • L’injection intracytoplasmique de spermatozoïdes (IICS) – pour l’infertilité masculine

    • Le transfert intratubaire de gamètes (GIFT)

    • Le transfert intratubaire de zygotes (ZIFT)

    • Le transfert de blastocystes (TB)
  • À propos de l’obstétrique
    À propos de l’obstétrique

    Obstétrique
  • À propos de l’obstétrique

    L’obstétrique est la branche de la médecine liée à la grossesse et à l’accouchement. La plupart des femmes ont des grossesses sans complication et sans incident, mais certaines grossesses auront besoin d’autres soins et degrés d’attention. Une partie des soins obstétricaux consiste à essayer de déterminer et prévenir les problèmes pouvant se produire pendant la grossesse et le travail et pouvant affecter la santé de la mère et de l’enfant à naître.

    Pour en savoir plus, veuillez choisir une des rubriques ci-dessous :

  • Induction du travail
    Induction du travail

    Obstétrique
  • Induction du travail

    Le travail est enclenché ou induit par les obstétriciens dans des situations où l’on juge qu’il est plus sûr pour la mère ou l’enfant à naître que l’accouchement ait lieu.

    Les raisons de l’induction comprennent :

    • la prééclampsie (augmentation grave et soudaine de la pression artérielle et insuffisance rénale);
    • une faible croissance du bébé;
    • des saignements inexpliqués dans la dernière phase de la grossesse;
    • une grossesse prolongée (raison la plus commune).

    Après 42 ou 43 semaines de grossesse, la plupart des médecins conviennent que le bébé est plus susceptible de connaître des problèmes et a un risque accru de décès ou de dommages au cerveau, si la grossesse se poursuit. Le travail est donc normalement induit autour de la 42e semaine s’il n’a pas déjà eu lieu naturellement.

    Accouchement

    L’accouchement peut être divisé en trois phases principales :

    • Phase 1 : début du travail. Cette étape prépare et ouvre le col de l’utérus pour que le bébé puisse passer.
    • Phase 2 : l’accouchement ou véritable naissance du bébé.
    • Phase 3 : l’expulsion du placenta.

    Les prostaglandines et l’ocytocine sont les principales substances produites à la fin de la grossesse et permettant d’entamer les processus clés du travail et de l’accouchement.

    L’ocytocine est l’hormone qui stimule l’utérus à se contracter et pousser le bébé vers le col utérin. Bien que la production de prostaglandines mette en branle le processus pour ramollir le col de l’utérus, le rendant plus fin et l’encourageant à s’ouvrir pour permettre le passage du bébé, les prostaglandines rendent aussi l’utérus plus sensible à l’ocytocine.

    Dès que le bébé naît, l’utérus continue à se contracter pour expulser le placenta et revenir à son état d’avant la grossesse le plus rapidement possible. Après l’expulsion du placenta, l’utérus doit se contracter et devenir ferme.

  • À propos de l’accouchement prématuré
    À propos de l’accouchement prématuré

    Obstétrique
  • À propos de l’accouchement prématuré

    Habituellement défini comme un travail survenant avant 37 semaines de grossesse, le travail avant terme ou prématuré pose généralement peu de risques pour la mère, mais les conséquences négatives sur la santé du bébé peuvent être considérables.

    Globalement, il est estimé que 13 millions de bébés naissent prématurément chaque année. Une naissance prématurée, ou avant terme, est une des causes les plus fréquentes de décès et d’incapacité chez les nourrissons. Les causes sont inconnues dans la plupart des cas.

    On a mis à l’essai toutes sortes de techniques pour arrêter un travail enclenché trop tôt. La plupart des traitements comprennent l’utilisation des médicaments appelés agents tocolytiques, qui sont conçus pour arrêter les contractions de l’utérus. Ils sont particulièrement utiles pour reporter l’accouchement et donner ainsi au bébé une chance de mûrir davantage ou permettre à la mère de se rendre à un hôpital doté d’équipements spécialisés.

    La naissance prématurée peut être classée dans une des trois catégories suivantes selon l’âge gestationnel :

    Catégorie de naissance prématurée

    Âge gestationnel (en semaines)

    Modérément

    De 33 à 36

    Très

    Moins de 32

    Extrêmement

    Moins de 28

    Environ un tiers ou plus de cas d’accouchement prématuré se produisent sans raison apparente, bien que l’expérience ait montré que certains groupes de femmes sont plus susceptibles que les autres de présenter un risque élevé accru.

    Facteurs de risque
    On sait que les très jeunes femmes, les femmes âgées (dans la quarantaine), les femmes qui ont eu des grossesses fréquentes, celles qui attendent plus d’un bébé, les femmes qui ont un poids insuffisant ou ont une mauvaise alimentation ainsi que les femmes qui fument présentent toutes un risque d’accoucher prématurément.

    D’autres cas de travail avant terme sont associés à des troubles médicaux. Une affection connue sous le nom de « prééclampsie » est la cause d’un tiers de toutes les naissances prématurées. La prééclampsie entraîne une augmentation grave et soudaine de la pression sanguine et est directement liée à la grossesse touchant environ une à quatorze femmes enceintes.

    Une béance du col, c’est-à-dire un col utérin qui est faible et incapable de rester fermé sous le poids d’un bébé en pleine croissance, tout comme nombre d’infections vaginales peuvent aussi conduire à un accouchement prématuré. En outre, des événements stressants peuvent provoquer le travail chez une femme avant le terme.

    Un court intervalle entre les grossesses (moins de six mois) ainsi que des grossesses multiples augmentent le risque d’accouchement prématuré. Par ailleurs, soixante pour cent de jumeaux sont nés avant le terme.

    Risque potentiel pour le bébé
    Les bébés prématurés sont petits et à peine formés; ils courent donc un risque de décès et de nombreuses de complications. Plus tôt ils viennent au monde, plus petits ils seront et plus les risques de ces conséquences seront élevés. Le degré de prématurité est également lié à des problèmes de développement à long terme chez l’enfant. Les bébés nés prématurément présentent un taux plus élevé de troubles d’apprentissage, de paralysie cérébrale, de déficits sensoriels et de maladies respiratoires par rapport aux bébés nés à terme.

    Les bébés nés après seulement 23 ou 24 semaines de grossesse sont les plus à risque de présenter des problèmes à court et à long terme. Les bébés nés après 34 semaines n’ont généralement qu’un faible risque de problèmes parce que leurs organes ont presque complètement mûri.

    Ainsi, il est important de maintenir la grossesse aussi longtemps que possible pour donner au nouveau-né les meilleures chances possible dans la vie.

    Diagnostic d’un accouchement prématuré
    L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit la naissance avant terme comme une naissance survenue avant 37 semaines de gestation.

    Un accouchement prématuré est diagnostiqué lorsqu’il y a des contractions douloureuses et palpables durant plus de 30 secondes et se produisant toutes les 5 minutes, et lorsqu’il y a preuve d’un changement de position ou un changement dans la consistance, la longueur ou la dilatation du col de l’utérus.

    Il y a deux méthodes pour aider à déterminer si un accouchement prématuré est en train de se produire :

    • La mesure de la longueur du col (plus est faible, plus le risque d’accouchement est imminent);
    • Le dosage de la fibronectine fœtale (fFN) dans le vagin; Plus la quantité de fFN dans le vagin est faible, moins il y a de risque de naissance avant terme.

    Traitement d’un travail avant terme
    Les agents tocolytiques retardent le travail en empêchant les contractions utérines (la tocolyse) et donnant ainsi au bébé plus de temps pour se former. Ces agents améliorent donc les résultats cliniques et réduisent la durée du séjour à l’hôpital des bébés nés prématurément.

  • Hémorragie post-partum
    Hémorragie post-partum

    Obstétrique
  • Hémorragie post-partum

    L’hémorragie après l’accouchement, ou hémorragie post-partum, est la perte de plus de 500 mL de sang après l’accouchement par voie vaginale ou 1 000 mL de sang après une césarienne. Elle est la principale cause de mortalité maternelle périnatale dans le monde développé et constitue une cause importante de morbidité maternelle dans le monde entier.

    L’atonie utérine (incapacité de l’utérus de se contracter), qui conduit à des saignements excessifs, est responsable de 80 % de ces cas. La rétention du placenta et une infection peuvent empêcher l’utérus de retrouver suffisamment de tonus musculaire.

  • Saignements menstruels abondants
    Saignements menstruels abondants

    Gynécologie
  • Saignements menstruels abondants

    Une menstruation dure habituellement entre 3 et 5 jours, mais une durée de 2 à 8 jours est considérée comme normale. La perte moyenne de sang pendant les règles est de 35 mL (un volume de 10 à 80 mL étant considéré comme normal), mais l’impact de ces pertes sur le mode et la qualité de vie de la patiente est peut-être plus important.

    En général, les saignements pendant les menstruations sont considérés comme trop abondants si :

    • il est nécessaire de changer de serviette hygiénique ou de tampon toutes les heures pendant plusieurs heures;
    • il est nécessaire d’utiliser une double protection sanitaire pour maîtriser les saignements;
    • il est nécessaire de changer la protection sanitaire au cours de la nuit;
    • les saignements menstruels contiennent de grands caillots de sang;
    • les saignements mensuels abondants interfèrent avec les activités régulières;
    • la femme se sent fatiguée, manque d’énergie ou se sent essoufflée. Ces symptômes peuvent être associés à de l’anémie (maladie affectant les globules rouges), causée par la perte de sang menstruel.

    Les saignements menstruels abondants (SMA) sont une affection médicale qui peut être traitée.

    Causes de saignements menstruels abondants

    On attribue les saignements menstruels abondants à différentes causes. Certaines des causes possibles des SMA comprennent notamment :

    • la croissance de tissus non cancéreux dans l’utérus (fibromes ou polypes);
    • des troubles de la coagulation, tels que la maladie de von Willebrand, qui affecte la capacité du sang à coaguler;
    • des affections dans lesquelles des morceaux de la paroi de l’utérus se développent à l’extérieur de l’utérus ou dans le muscle de celui-ci (endométriose ou adénomyose);
    • des taux élevés de certaines substances chimiques dans le corps (prostaglandines ou endothélines);
    • des infections telles que la maladie inflammatoire pelvienne (MIP);
    • un déséquilibre hormonal dans le corps;
    • les dispositifs intra-utérins (DIU) utilisés pour la contraception;
    • des maladies hépatiques, rénales ou de la thyroïde.

    Même si, la plupart du temps, on n’arrive pas à trouver la cause des SMA, on peut traiter les saignements abondants au cours des menstruations.

  • Liens connexes
    Liens connexes

  • Pour les professionnels
    Les liens suivants sont des sites Web destinés aux médecins seulement.

    Infertilité


    OBGYN.net
    fournit de l’information et du matériel éducatif


    Fertility and Sterility
    , journal officiel de l’American Society for Reproductive Medicine

    Association of Reproductive Health Professionals (ARHP)

    European Society of Human Reproduction and Embryology (ESHRE)

    Obstétrique


    EJOG - Obstetrics & Gynecology
    , dernières recherches touchant la pratique clinique dans toutes les surspécialités de l’obstétrique et la gynécologie


    March of dimes
    ,
    groupe de collaboration pour avoir des bébés forts et en bonne santé


    EFCNI

    European Foundation for the Care of Newborn Infants

    Pour les patients
    Les liens suivants sont destinés aux patients (en anglais seulement).

    Infertilité

    First Visit IVF

    IHR – Infertility Resources

    The Women’s Surgery Group

    EndometriosisZone

    Obstétrique

    Women’s health


    Preemie-L

    Parents of Premature Babies Inc.


    AWHONN

    Association of Women’s Health, Obstetric, and Neonatal Nurses, Preterm Labor


    Eumom.com

    The Pregnancy Resource

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